Quatrième de couverture:
Et si l’improbable irruption de Bernie Sanders dans les primaires démocrate n’était pas un phénomène fortuit et passager ? S’il n’était pas un épiphénomène mais le signe de bouleversements profonds et majeurs dans la société américaine ? Quant à Donald Trump, s’il n’était que le témoin en colère d’un changement majeur que l’Amérique conservatrice ne peut plus arrêter ?
Ce livre offre une vision inattendue des États-Unis et de ses évolutions prochaines, aux antipodes des raccourcis médiatiques. Il montre que la vieille Amérique est en train de mourir pendant qu’une autre naît, portée par la montée en puissance des minorités et l’ouverture culturelle de la nouvelle génération, les « Millennials ». Car, contrairement aux clichés, les États-Unis ne sont pas dominés par une idéologie conservatrice que Reagan puis Bush père et fils avaient propagée. Une autre Amérique émerge, jeune, métissée, progressiste. Elle a élu Obama et réclame l’augmentation du salaire minimum, l’instauration d’un système public de santé, la réduction des inégalités.
Avec des portraits inattendues d’Américains et des cartes à l’appui, ce livre explique pourquoi et comment les minorités et les Millennials, cette génération de 80 millions de personnes, sont en train de changer de fond en comble et pour longtemps la société américaine. Et si l’Amérique qui vient surprenait le monde ?
Monsieur Deroubaix,
Dire que c’est « l’Amérique jeune, métissée, progressiste(…) qui a élu Obama et réclame l’augmentation du salaire minimum, l’instauration d’un système public de santé, la réduction des inégalités » est en soi-même un « raccourci médiatique » majeur !
Il est dans la nature des choses que les « Baby Boomers » (la génération qui avait entre 20 et 30 ans en 1968) soit en train de disparaître, lentement mais sûrement.
Mais…
1) C’est justement parce qu’un grand nombre de jeunes Américains ont été élevée par les « soixantehuitards » qu’ils croient à, et travaillent pour, une Amérique différente.
2) Il est également vrai qu’un grand nombre de jeunes Américains ont des idées totalement différentes sur leur pays. Certains d’entre eux voteront pour Hillary Clinton, d’autres pour Donald Trump.
3) L’écrasante majorité de mes amis (pour ne pas dire tous) et moi-même connaissions Bernie Sanders depuis de nombreuses années et suivions sont travail au Sénat bien avant que les « media » ne le découvre. nous l’avons supporté, avons voté pour qu’il nous représente et non pas pour Mme Clinton qui n’est Démocrate que dans son imagination.
Ces mêmes « Seniors » (terme condescendant invoquant trop souvent le vieil âge en oubliant sa sagesse, acquise au long des années) sont toujours là et prêts à tout faire pour que Trump, ignoramus plein de lui-même, ne gagne pas les élections.
4) Inoculer les Etats Unis contre sa dépendance infantile au bien être matériel, sa soit-disant supériorité en toutes choses, son absence de connaissance linguistique, culturelle et politique du reste du monde, est un combat incessant qui n’appartient certainement pas uniquement à « l’Amérique jeune, métissée et progressiste ».
Dire que c’est « l’Amérique jeune, métissée, progressiste(…) qui a élu Obama et réclame l’augmentation du salaire minimum, l’instauration d’un système public de santé, la réduction des inégalités » est en soi-même un « raccourci médiatique » majeur !
Il est dans la nature des choses que les « Baby Boomers » (la génération qui avait entre 20 et 30 ans en 1968) soit en train de disparaître, lentement mais sûrement.
Mais…
1) C’est justement parce qu’un grand nombre de jeunes Américains ont été élevée par les « soixantehuitards » qu’ils croient à, et travaillent pour, une Amérique différente.
2) Il est également vrai qu’un grand nombre de jeunes Américains ont des idées totalement différentes sur leur pays. Certains d’entre eux voteront pour Hillary Clinton, d’autres pour Donald Trump.
3) L’écrasante majorité de mes amis (pour ne pas dire tous) et moi-même connaissions Bernie Sanders depuis de nombreuses années et suivions sont travail au Sénat bien avant que les « media » ne le découvre. nous l’avons supporté, avons voté pour qu’il nous représente et non pas pour Mme Clinton qui n’est Démocrate que dans son imagination.
Ces mêmes « Seniors » (terme condescendant invoquant trop souvent le vieil âge en oubliant sa sagesse, acquise au long des années) sont toujours là et prêts à tout faire pour que Trump, ignoramus plein de lui-même, ne gagne pas les élections.
4) Inoculer les Etats Unis contre sa dépendance infantile au bien être matériel, sa soit-disant supériorité en toutes choses, son absence de connaissance linguistique, culturelle et politique du reste du monde, est un combat incessant qui n’appartient certainement pas uniquement à « l’Amérique jeune, métissée et progressiste ».